Pour s’améliorer sans cesse, il faut se concentrer sur les principes de base. C’est pourquoi j’aime bien écrire des petites leçons pour vous. Un de mes auteurs favoris est Jeremy Silman. Il est selon moi, le meilleur pour transmette ses connaissances. Voici quelques principes sur la notion d’avoir un « BON FOU ».
Dans une position ouverte, où aucun pion n’obstrue les diagonales du fou, ce dernier surclasse le cavalier. Optez pour une finale fou contre cavalier.
Le fou fait des merveilles en finale, lorsque les pions passés des deux camps se précipitent vers leur case de promotion. Sa longue portée le rend alors infiniment supérieur au cavalier qui avance à pas de tortue en comparaison.
L’expression « mauvais fou » fait allusion à un fou aux diagonales obstruées par ses propres pions. Si, par malheur, votre fou est mauvais, il vous faut y remédier en adoptant l’une des stratégies suivantes :
• Échangez-le contre une pièce d’égale valeur.
• Postez les pions qui obstruent votre fou sur des cases de l’autre couleur.
• Postez-le devant votre chaine de pions pour qu’il soit actif.
Si vous conservez vos deux fous, vous contrôler les 64 cases de l’échiquier. Prenez bonne note d’ouvrir la position.
Dans la conception de votre plan, analysez la position et prenez la bonne décision :
1. Jeu ouvert, je conserve mes fous, donc j’échange mes cavaliers contre les fous de mon adversaire.
2. Jeu fermé, je conserve mes cavaliers, donc j’échange mes fous contre les cavaliers de mon adversaire.
En conclusion
Élaborer d’abord un plan, puis développer vos pièces en conséquence. Il suffit souvent de gagner du terrain tout en réduisant les possibilités ennemies à leur plus simple expression.
Jouez toujours en vue d’améliorer votre position.
Bonne semaine
Dans une position ouverte, où aucun pion n’obstrue les diagonales du fou, ce dernier surclasse le cavalier. Optez pour une finale fou contre cavalier.
Le fou fait des merveilles en finale, lorsque les pions passés des deux camps se précipitent vers leur case de promotion. Sa longue portée le rend alors infiniment supérieur au cavalier qui avance à pas de tortue en comparaison.
L’expression « mauvais fou » fait allusion à un fou aux diagonales obstruées par ses propres pions. Si, par malheur, votre fou est mauvais, il vous faut y remédier en adoptant l’une des stratégies suivantes :
• Échangez-le contre une pièce d’égale valeur.
• Postez les pions qui obstruent votre fou sur des cases de l’autre couleur.
• Postez-le devant votre chaine de pions pour qu’il soit actif.
Si vous conservez vos deux fous, vous contrôler les 64 cases de l’échiquier. Prenez bonne note d’ouvrir la position.
Dans la conception de votre plan, analysez la position et prenez la bonne décision :
1. Jeu ouvert, je conserve mes fous, donc j’échange mes cavaliers contre les fous de mon adversaire.
2. Jeu fermé, je conserve mes cavaliers, donc j’échange mes fous contre les cavaliers de mon adversaire.
En conclusion
Élaborer d’abord un plan, puis développer vos pièces en conséquence. Il suffit souvent de gagner du terrain tout en réduisant les possibilités ennemies à leur plus simple expression.
Jouez toujours en vue d’améliorer votre position.
Bonne semaine
Comment