Dans deux de ses lettres électroniques, Jean Hebert nous fait part en détail de ses tribulations échiquéennes comme professeur à l'école primaire Samuel de Champlain de Brossard. Avec la force du détail, il nous explique la difficulté d'enseigner les échecs. Dans son cas, il s'adresse à des classes régulières en immersion française. Il n'est pas facile de se faire comprendre quand ceux à qui on s'adresse ne sont pas pleinement familiés avec la langue du pays. Il est évident que l'implication du milieu, entre autres les professeur(e)s régulier(e)s des élèves de Jean, est importante afin de soutenir la progression de ses élèves. Il nous le démontre. Souvent les professeurs d'échecs espèrent une progression à la hauteur de l'enseignement qu'ils dispensent aux élèves dont ils ont la charge. Ce n'est pas toujours le cas.
Là où je comprend moins bien la logique, c'est quand Mr Hébert constate qu'il y a enseignement des échecs par d'autres professeurs à la même école. Actuellement à Samuel de Champlain, outre l'Académie des échecs, il y a l'Association Échecs et Maths qui est présente depuis plusieurs années. Plusieurs professeurs y ont enseigné pour elle, dont moi Paul Lalonde depuis plusieurs années. Je n'ai pas de problème à me faire décrire par Jean comme amateur même si je suis expert reconnu par la F.Q.E.. Quand il place entre guillemets l'activité échecs que nous faisons c'est qu'il laisse place à l'interprétation de notre travail. Dans ces conditions, comment s'indigner d'un manque de coordination ou d'unité de l'activité échiquéenne sans certitude de compatibilité de vues et de compétences?
Là où je comprend moins bien la logique, c'est quand Mr Hébert constate qu'il y a enseignement des échecs par d'autres professeurs à la même école. Actuellement à Samuel de Champlain, outre l'Académie des échecs, il y a l'Association Échecs et Maths qui est présente depuis plusieurs années. Plusieurs professeurs y ont enseigné pour elle, dont moi Paul Lalonde depuis plusieurs années. Je n'ai pas de problème à me faire décrire par Jean comme amateur même si je suis expert reconnu par la F.Q.E.. Quand il place entre guillemets l'activité échecs que nous faisons c'est qu'il laisse place à l'interprétation de notre travail. Dans ces conditions, comment s'indigner d'un manque de coordination ou d'unité de l'activité échiquéenne sans certitude de compatibilité de vues et de compétences?
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