Re: Unisource 5 : danger!
Adjuvant et syndrome de Guillain-barré
On reproche en autres aux adjuvants de développer des maladies comme le syndrome de Guillain-Barré, maladie paralysante revenant à la normale au bout de quelques jours dans la plupart des cas, mais qui peut aussi, dans des cas plus rares, aboutir à une forme plus grave. En 1976, une vaste campagne de vaccination aux Etats-Unis a concerné 45 millions de personnes. Elle a été rapidement arrêtée suite à plus de 5 000 cas de malades du syndrome de Guillain-Barré.
L'adjuvant de GSK est nouveau et n'a été testé que sur 41000 personnes. C'est peu pourquoi? Car selon les autorités médicales du Québec ils prévoient .7 Syndrome de Guillain-barré par 1 million de personnes vaccinés au Québec, bref 5 personnes au Québec anticipés. En contre-partie si les gens ne se font pas vaccinés on risque de dépasser les 45000 personnes aux soins intensifs prévus durant la vague 2 au Québec.
Aux soins intensifs cela signifie qu'on te donne des antiviraux comme Tamiflu et souvent que tu es intubé avec un tube d'oxygène vers les poumons car c'est là que l'inflammation peut provoquer la mort par suffocation puisque tu te noie littéralement dans ton jus qui est présent dans les poumons et qui bloque l'oxygénation.
Regardez le jeune Ontarien qui vient de mourir, après avoir été à la clinique pour le H1N1, il est allé au froid jouer au hockey dans un aréna. On peut imaginer ce qui s'est alors passé dans ses poumons au contact de ce froid avec son inflammation existante. Mais s'il était retourné passer toute la journée au lit et qu'en plus l'hôpital lui avait donné un comprimé de Tamiflu (antiviraux) le matin avant d'aller au lit il serait, j'en suis convaincu, encore en vit. Ceux qui ont eut la prévoyance d'acheter du Tamiflu illégalement :o (malgré que tous autour d'eux leurs disaient qu'ils étaient alarmistes) sur Internet il y a deux ans ont donc bien plus de chances de s'en tirer que ceux qui auront accès à cela seulement en dernier recours (car on ne veut pas que le virus mute et s'adapte au Tamiflu). On a "sacrifié" cet adolescent en n'ayant pas recours systématiquement au Tamiflu lorsque quelqu'un présente des symptômes et c'était évidemment la "bonne décision" car le Tamiflu sera notre dernier recours si un pandémie dans une future vague venait à être trop mortelle. Il ne faut donc pas "brûler" le Tamiflu en le mettant trop en contact souvent avec le virus. Les fautifs dans cette mort ce sont les parents qui n'ont pas couché leur enfant. Il fallait prendre garde aux poumons, c'était primordial.
Mon hésitation face à la vaccination personnellement est due au fait que la vaccination saisonnière de l'an passée n'a pas marchée (selon une étude canadienne et elle n'a pas marchée pour aucun des 7 membres de ma famille). Si le vaccin n'est pas efficace cette année, on risque donc H1N1 + Syndrone de Guillain-barré inutilement. Ma famille a reçu les vaccins saisonniers depuis trois ans et elle a tellement été malade l'an passé et même actuellement que j'hésiterai toujours désormais face à un vaccin contre la grippe. C'est comme si les vaccins nous avaient donné la grippe à répétition.
On peut, si on a ces hésitations, attendre que le premier million soit vacciner pour voir les cas de syndrome.
Conseil: si vous avez des symptômes couchez vous et vous survivrez mais si vous demeurez actif et au froid vous prenez un risque inutile.
Carl
Originally posted by Steve Bolduc
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On reproche en autres aux adjuvants de développer des maladies comme le syndrome de Guillain-Barré, maladie paralysante revenant à la normale au bout de quelques jours dans la plupart des cas, mais qui peut aussi, dans des cas plus rares, aboutir à une forme plus grave. En 1976, une vaste campagne de vaccination aux Etats-Unis a concerné 45 millions de personnes. Elle a été rapidement arrêtée suite à plus de 5 000 cas de malades du syndrome de Guillain-Barré.
L'adjuvant de GSK est nouveau et n'a été testé que sur 41000 personnes. C'est peu pourquoi? Car selon les autorités médicales du Québec ils prévoient .7 Syndrome de Guillain-barré par 1 million de personnes vaccinés au Québec, bref 5 personnes au Québec anticipés. En contre-partie si les gens ne se font pas vaccinés on risque de dépasser les 45000 personnes aux soins intensifs prévus durant la vague 2 au Québec.
Aux soins intensifs cela signifie qu'on te donne des antiviraux comme Tamiflu et souvent que tu es intubé avec un tube d'oxygène vers les poumons car c'est là que l'inflammation peut provoquer la mort par suffocation puisque tu te noie littéralement dans ton jus qui est présent dans les poumons et qui bloque l'oxygénation.
Regardez le jeune Ontarien qui vient de mourir, après avoir été à la clinique pour le H1N1, il est allé au froid jouer au hockey dans un aréna. On peut imaginer ce qui s'est alors passé dans ses poumons au contact de ce froid avec son inflammation existante. Mais s'il était retourné passer toute la journée au lit et qu'en plus l'hôpital lui avait donné un comprimé de Tamiflu (antiviraux) le matin avant d'aller au lit il serait, j'en suis convaincu, encore en vit. Ceux qui ont eut la prévoyance d'acheter du Tamiflu illégalement :o (malgré que tous autour d'eux leurs disaient qu'ils étaient alarmistes) sur Internet il y a deux ans ont donc bien plus de chances de s'en tirer que ceux qui auront accès à cela seulement en dernier recours (car on ne veut pas que le virus mute et s'adapte au Tamiflu). On a "sacrifié" cet adolescent en n'ayant pas recours systématiquement au Tamiflu lorsque quelqu'un présente des symptômes et c'était évidemment la "bonne décision" car le Tamiflu sera notre dernier recours si un pandémie dans une future vague venait à être trop mortelle. Il ne faut donc pas "brûler" le Tamiflu en le mettant trop en contact souvent avec le virus. Les fautifs dans cette mort ce sont les parents qui n'ont pas couché leur enfant. Il fallait prendre garde aux poumons, c'était primordial.
Mon hésitation face à la vaccination personnellement est due au fait que la vaccination saisonnière de l'an passée n'a pas marchée (selon une étude canadienne et elle n'a pas marchée pour aucun des 7 membres de ma famille). Si le vaccin n'est pas efficace cette année, on risque donc H1N1 + Syndrone de Guillain-barré inutilement. Ma famille a reçu les vaccins saisonniers depuis trois ans et elle a tellement été malade l'an passé et même actuellement que j'hésiterai toujours désormais face à un vaccin contre la grippe. C'est comme si les vaccins nous avaient donné la grippe à répétition.
On peut, si on a ces hésitations, attendre que le premier million soit vacciner pour voir les cas de syndrome.
Conseil: si vous avez des symptômes couchez vous et vous survivrez mais si vous demeurez actif et au froid vous prenez un risque inutile.
Carl
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