M. Hébert,
Si on fait fit des accusations gratuites, propos mensongers et attaque à la réputation, l’essentiel de vos interrogations à propos d’Équipe Québec peuvent se résumer à deux questions :
- Comment s’est fait le choix des instructeurs d’Équipe Québec, et plus particulièrement pourquoi MOI, Jean Hébert, n’ai pas été sélectionné?
- Est-il acceptable que la FQE offre des cours en anglais dans le cadre de ce programme?
-
En réponse à la première question :
Le programme Équipe Québec est une initiative du C.E. qui a demandé aux gestionnaires de la FQE d’élaborer un programme et un budget. Durant l’été, M. Bérubé a confié cette tâche à M. Dumont, alors à l’emploi de la FQE dans le cadre d’un mandat d’été.
Le projet fut présenté à une réunion du C.E. de l’automne, bonifié et accepté avec enthousiasme par le C.E. et puis par le C.A. Puisque M. Dumont avait été le pilote de ce projet depuis le début et qu’il avait démontré les qualités de leadership pour le mener à bien, il a été convenu de lui en confier la responsabilité sous la supervision de Richard. Je dois dire qu’à ce jour, je ne regrette aucunement cette décision, car M. Dumont fait preuve d’une grande implication et de beaucoup de sérieux dans ce rôle.
Le choix du personnel enseignant a été effectué par M. Dumont et supporté par M. Bérubé, sans ingérence de la part du C.E. ou du C.A. À mes yeux il est normal que l’on procède ainsi : dans la mesure où on s’attend à ce que M. Dumont prenne le leadership du dossier et soit redevable des résultats, il est normal qu’il puisse constituer son équipe comme il le désire (principe de gestion 101).
M. Dumont vous a expliqué en détail les critères qui ont guidé ses choix dans ce même forum. Ces choix furent entérinés par le C.E. par la suite.
Je dois avouer que je trouvais personnellement ces choix judicieux, car, outre les raisons explicitées par M. Dumont, je voyais dans le choix de deux collaborateurs (à l’époque) de Jeu Royal, une occasion de renforcer cette jeune organisation qui avait su prendre la relève de la FQE dans l’organisation du tournoi du Père Noël. De plus, je savais que M. Hua était un excellent choix par son implication auprès des jeunes, tant via Échecs et Math (un commanditaire d’Équipe Québec) que par son implication comme instructeur semi-bénévole au niveau de la ligue des écoles secondaires. (On récolte ce que l’on sème!)
JE N’AI DONC PAS SÉLECTIONNÉ LES ENTRAÎNEURS DE CETTE ÉQUIPE, NI ÉMIS DE DIRECTIVES À L’EFFET DE VOUS BOYCOTTER, M. HÉBERT. Affirmer le contraire est non seulement mensonger, mais également malicieux.
Dans ce projet, le travail d’équipe avec la direction et entre entraîneurs est essentiel à sa bonne marche. C’est comme pour une équipe sportive, c’est la qualité du jeu collectif qui est garante de son succès. Je crois que l’équipe a atteint cette cohésion et en plus, elle respecte le plafond salarial!
Je n’ai aucun doute que dans certaines circonstances vous puissiez être un excellent entraîneur et peut-être même le meilleur d’entre tous, mais je ne sais pas comment vous avez pu prendre pour acquis qu’un rôle d’entraîneur d’Équipe Québec vous revenait de droit ?
En réponse à la deuxième question :
Effectivement le G.M. Sambuev et le M.I. Costellanos ne s’expriment pas en français couramment. Ce point a été débattu lors de la sélection de l’équipe d’entraîneurs. Il faut comprendre que sur les 19 rencontres obligatoires, 12 sont uniquement en français et que pour les 7 restantes, les 2/3 du contenu sont en langue française. La présente de l’anglais ne s’établit qu’à 12%. Il est bon de rappeler ici que l’option de la traduction a été offerte aux jeunes (qui l’ont refusée) et que si un jeune désire que sa formation soit 100% en français, on peut le transférer dans un cours en français.
Évidemment il ne profitera pas alors de l’enseignement d’un G.M. à la feuille de route aussi impressionnante que celle du G.M. Sambuev. Ici, la FQE s’est retrouvée dans un dilemme similaire à celui des H.E.C. à Montréal. Doit-on priver les élèves d’un professeur à la compétence unique parce que ce dernier ne s’exprime qu’en anglais?
M. Patry, directeur des HEC, et moi-même avons fait le même choix : le choix de la compétence et du savoir. Il est cependant faux de prétendre que la FQE a manqué à ses obligations d’offrir des services en français à ses membres dans la mesure où les jeunes peuvent bénéficier, s’ils le désirent, d’un programme 100% en français. Notez, au passage que pour le camp du COQ, la FQE s’adjoint les services d’un G.M. francophone.
Je me doute que cette position de la FQE ne répondra pas à vos attentes, car je crois déduire de vos propos que vous souhaitez que la FQE adopte une politique axée vers une francisation active. Même si je ne la partage pas, je respecte votre opinion, quoiqu’on puisse légitimement se demander si elle émane d’une réelle conviction ou d’un calcul économique.
Dans une démocratie, on peut débattre des enjeux et pas besoin de recourir à la diffamation pour le faire, d’ailleurs. Ultimement, le choix entre des politiques irréconciliables se fait au moment des élections. C’est pourquoi je vous ai souvent enjoint à vous présenter ou à soutenir un membre qui voudrait défendre des politiques proches des vôtres. Ce sera alors aux membres de choisir la politique qui leur sied le mieux.
Si on fait fit des accusations gratuites, propos mensongers et attaque à la réputation, l’essentiel de vos interrogations à propos d’Équipe Québec peuvent se résumer à deux questions :
- Comment s’est fait le choix des instructeurs d’Équipe Québec, et plus particulièrement pourquoi MOI, Jean Hébert, n’ai pas été sélectionné?
- Est-il acceptable que la FQE offre des cours en anglais dans le cadre de ce programme?
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En réponse à la première question :
Le programme Équipe Québec est une initiative du C.E. qui a demandé aux gestionnaires de la FQE d’élaborer un programme et un budget. Durant l’été, M. Bérubé a confié cette tâche à M. Dumont, alors à l’emploi de la FQE dans le cadre d’un mandat d’été.
Le projet fut présenté à une réunion du C.E. de l’automne, bonifié et accepté avec enthousiasme par le C.E. et puis par le C.A. Puisque M. Dumont avait été le pilote de ce projet depuis le début et qu’il avait démontré les qualités de leadership pour le mener à bien, il a été convenu de lui en confier la responsabilité sous la supervision de Richard. Je dois dire qu’à ce jour, je ne regrette aucunement cette décision, car M. Dumont fait preuve d’une grande implication et de beaucoup de sérieux dans ce rôle.
Le choix du personnel enseignant a été effectué par M. Dumont et supporté par M. Bérubé, sans ingérence de la part du C.E. ou du C.A. À mes yeux il est normal que l’on procède ainsi : dans la mesure où on s’attend à ce que M. Dumont prenne le leadership du dossier et soit redevable des résultats, il est normal qu’il puisse constituer son équipe comme il le désire (principe de gestion 101).
M. Dumont vous a expliqué en détail les critères qui ont guidé ses choix dans ce même forum. Ces choix furent entérinés par le C.E. par la suite.
Je dois avouer que je trouvais personnellement ces choix judicieux, car, outre les raisons explicitées par M. Dumont, je voyais dans le choix de deux collaborateurs (à l’époque) de Jeu Royal, une occasion de renforcer cette jeune organisation qui avait su prendre la relève de la FQE dans l’organisation du tournoi du Père Noël. De plus, je savais que M. Hua était un excellent choix par son implication auprès des jeunes, tant via Échecs et Math (un commanditaire d’Équipe Québec) que par son implication comme instructeur semi-bénévole au niveau de la ligue des écoles secondaires. (On récolte ce que l’on sème!)
JE N’AI DONC PAS SÉLECTIONNÉ LES ENTRAÎNEURS DE CETTE ÉQUIPE, NI ÉMIS DE DIRECTIVES À L’EFFET DE VOUS BOYCOTTER, M. HÉBERT. Affirmer le contraire est non seulement mensonger, mais également malicieux.
Dans ce projet, le travail d’équipe avec la direction et entre entraîneurs est essentiel à sa bonne marche. C’est comme pour une équipe sportive, c’est la qualité du jeu collectif qui est garante de son succès. Je crois que l’équipe a atteint cette cohésion et en plus, elle respecte le plafond salarial!
Je n’ai aucun doute que dans certaines circonstances vous puissiez être un excellent entraîneur et peut-être même le meilleur d’entre tous, mais je ne sais pas comment vous avez pu prendre pour acquis qu’un rôle d’entraîneur d’Équipe Québec vous revenait de droit ?
En réponse à la deuxième question :
Effectivement le G.M. Sambuev et le M.I. Costellanos ne s’expriment pas en français couramment. Ce point a été débattu lors de la sélection de l’équipe d’entraîneurs. Il faut comprendre que sur les 19 rencontres obligatoires, 12 sont uniquement en français et que pour les 7 restantes, les 2/3 du contenu sont en langue française. La présente de l’anglais ne s’établit qu’à 12%. Il est bon de rappeler ici que l’option de la traduction a été offerte aux jeunes (qui l’ont refusée) et que si un jeune désire que sa formation soit 100% en français, on peut le transférer dans un cours en français.
Évidemment il ne profitera pas alors de l’enseignement d’un G.M. à la feuille de route aussi impressionnante que celle du G.M. Sambuev. Ici, la FQE s’est retrouvée dans un dilemme similaire à celui des H.E.C. à Montréal. Doit-on priver les élèves d’un professeur à la compétence unique parce que ce dernier ne s’exprime qu’en anglais?
M. Patry, directeur des HEC, et moi-même avons fait le même choix : le choix de la compétence et du savoir. Il est cependant faux de prétendre que la FQE a manqué à ses obligations d’offrir des services en français à ses membres dans la mesure où les jeunes peuvent bénéficier, s’ils le désirent, d’un programme 100% en français. Notez, au passage que pour le camp du COQ, la FQE s’adjoint les services d’un G.M. francophone.
Je me doute que cette position de la FQE ne répondra pas à vos attentes, car je crois déduire de vos propos que vous souhaitez que la FQE adopte une politique axée vers une francisation active. Même si je ne la partage pas, je respecte votre opinion, quoiqu’on puisse légitimement se demander si elle émane d’une réelle conviction ou d’un calcul économique.
Dans une démocratie, on peut débattre des enjeux et pas besoin de recourir à la diffamation pour le faire, d’ailleurs. Ultimement, le choix entre des politiques irréconciliables se fait au moment des élections. C’est pourquoi je vous ai souvent enjoint à vous présenter ou à soutenir un membre qui voudrait défendre des politiques proches des vôtres. Ce sera alors aux membres de choisir la politique qui leur sied le mieux.
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