Re: Re : Re: Re : Re: Re : Re: Re : Étude scientifique vs Foi
Encore une fois, tu te crois au dessus des chercheurs et de la science. Si tu veux, je vais te communiquer les coordonnés du responsable de la recherche et tu pourras tout lui expliquer comment exercer sa profession. Tu savais que la recherche a été financée à 80% par le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada (CRSH) et que le comité de sélection évalue chaque demande de financement judicieusement pour voir si elles viennent combler un manque? Ce comité formé de "sommités" du domaine des sciences sociales (ne provenant pas de la haute sphère des échecs j'en conviens, mais qui devraient se "débrouiller" un plus que Jean Hébert dans le domaines des sciences sociales...) a jugé bon de financer cette étude... ne crois-tu pas que c'est parce qu'ils jugeaient que le projet allait donner des réponses qu'ils n'ont pas encore obtenues?
Tu savais que dans le dépôt du projet, les chercheurs doivent faire la recenssion des écrits de toutes les études antérieures pour voir si le sujet n'a pas été creusé?
Tu savais aussi que si jamais on prouve scientifiquement que les échecs, en plus de participer au développement académique et global de l'élève, viennent influencer favorablement les garçons au niveau de leur intérêt à l'école (sans nuire aux filles) que le ministère sera certainement plus intéressé à faire cheminer le dossier? Peut-être pourrons-nous interpeller le ou la ministre directement au lieu de se butter à un haut fonctionnaire qui filtre les dossiers? Ne crois-tu pas que nous aurions plus de punch??
Notre logique a été expliquée plus haut. Mais pour la résumé en termes simples et pour faire une histoire courte des événements:
1. Nous avons présenté un projet pilote d'intégration de cours d'échecs dans une ou deux écoles au MELS. Le fonctionnaire nous a poliment avisé que le projet semblait intéressant mais qu'il fallait d'abord travailler avec la FQE puisque c'est l'organisme subventionné par l'état.
2. On entend dans les tribunes et les émissions d'actualité que le taux de décrochage chez les garçons est beaucoup plus élevé que chez les filles. Le système scolaire actuel semble intéressé plus les filles que les garçons.
3. Nous discutons avec des chercheurs en sciences de l'éducation qui sont intéressés à soumettre un projet de recherche. En fait, le responsable de la recherche s'est impliqué dans notre CA il y a 3 ans puisque c'est un projet de recherche qu'il caressait depuis un petit bout de temps. Les chercheurs décident de bâtir le projet de recherche en faisant un arrimage entre le décrochage scolaire des garçons (problématique et actualité) et le jeu d'échecs comme solution.
4. L'AÉ a aidé les chercheurs à réaliser le travail sur le terrain en sollicitant les écoles de son réseau et en fournissant son programme d'apprentissage.
5. L'étude a débuté cette automne dans la région de Drummondville et 180 jeunes de 3è années suivent 60 minutes de cours d'échecs par semaine sur les heures de classe. Nous continuons avec ces élèves l'an prochain. Les chercheurs font de la cueillette de données avec des groupes témoins provenant d'autres écoles de la région pour comparer les résultats.
6. Malheureusement, les chercheurs auraient dû valider si les intervenants sur le terrain avaient au moins 2300 de cote ELO avant de s'aventurer dans cette aventure. De pauvres petits joueurs de 1600 ne sont certainement pas qualifiés pour le travail. De plus, les joueurs de 2300 n'ont pas besoin d'études pour monter des dossiers "béton". On a juste à résumer les autres recherches et le tour est joué! Avec de la CONVICTION, nul ne sert d'attendre les résultats de la recherche: les portes sont toutes grandes ouvertes au MELS... tous les joueurs de 2300 savent ça... sans même avoir cogné à la porte!
Comment t'aime ça te faire faire le jeu? Se peut-il que j'utilise ta méthode? :)
Eh bien vas-y... je te regarde aller. Qu'attends-tu? Parle à tes "sommités" du monde des échecs pis organise-nous ça!
Tu vois, là vraiment on ne pourra pas s'entendre. Pour une étude scientifique qui touche l'éducation, je ne demanderai pas à un joueur de 2300, supposément spécialiste des échecs, comment mener à bien une étude qui doit toucher le monde de l'éducation.
Hiiiii... tu peux blâmer bien d'autres personnes que moi de ne pas tirer de leçons de ce qui lui arrive. Je crois que tu devrais te regarder dans le miroir... je ne t'ai jamais vu avouer le moindre petit faux pas dans n'importe quelle discussion. À moins que tu sois parfait et que tu possèdes la vérité... c'est certainement pour cette raison que tu te trouves seuls à essayer de vendre tes idées. As-tu remarqué que tu sembles avoir plein de bonnes idées mais que personne ne semble embarquer? Ça doit vouloir dire quelque chose...
Et puis oui j'avoue: je me suis laissé emporter. Certainement des symptômes de l'écoeurantite aigüe. Je suis quelqu'un qui accepte la critique habituellement. Mais quand quelqu'un s'acharne sur mon cas à essayer de discréditer tout ce que je touche, alors que cette personne est sagement assise dans son salon en sa basant sur sa soit-disant merveilleuse expérience sans rien faire d'autre, eh bien oui, il peut être normal de perdre son calme. Plusieurs personnes m'ont envoyé des messages privés dans le passé (puisque ce n'est pas notre première escarmouche...) me demandant pourquoi je perdais mon temps à "essayer" de discuter avec toi... que ça ne sert à rien puisqu'au bout du compte, "Jean a toujours raison". Je m'en rend bien compte maintenant... nous aurions "dont dû ben dû" téléphoner à Jean avant de se lancer dans cette aventure... il nous l'aurait dit "lui" que ça serait certainement une perte de temps! Il aurait sû tout de suite!
Originally posted by Jean Hébert
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Tu savais que dans le dépôt du projet, les chercheurs doivent faire la recenssion des écrits de toutes les études antérieures pour voir si le sujet n'a pas été creusé?
Tu savais aussi que si jamais on prouve scientifiquement que les échecs, en plus de participer au développement académique et global de l'élève, viennent influencer favorablement les garçons au niveau de leur intérêt à l'école (sans nuire aux filles) que le ministère sera certainement plus intéressé à faire cheminer le dossier? Peut-être pourrons-nous interpeller le ou la ministre directement au lieu de se butter à un haut fonctionnaire qui filtre les dossiers? Ne crois-tu pas que nous aurions plus de punch??
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1. Nous avons présenté un projet pilote d'intégration de cours d'échecs dans une ou deux écoles au MELS. Le fonctionnaire nous a poliment avisé que le projet semblait intéressant mais qu'il fallait d'abord travailler avec la FQE puisque c'est l'organisme subventionné par l'état.
2. On entend dans les tribunes et les émissions d'actualité que le taux de décrochage chez les garçons est beaucoup plus élevé que chez les filles. Le système scolaire actuel semble intéressé plus les filles que les garçons.
3. Nous discutons avec des chercheurs en sciences de l'éducation qui sont intéressés à soumettre un projet de recherche. En fait, le responsable de la recherche s'est impliqué dans notre CA il y a 3 ans puisque c'est un projet de recherche qu'il caressait depuis un petit bout de temps. Les chercheurs décident de bâtir le projet de recherche en faisant un arrimage entre le décrochage scolaire des garçons (problématique et actualité) et le jeu d'échecs comme solution.
4. L'AÉ a aidé les chercheurs à réaliser le travail sur le terrain en sollicitant les écoles de son réseau et en fournissant son programme d'apprentissage.
5. L'étude a débuté cette automne dans la région de Drummondville et 180 jeunes de 3è années suivent 60 minutes de cours d'échecs par semaine sur les heures de classe. Nous continuons avec ces élèves l'an prochain. Les chercheurs font de la cueillette de données avec des groupes témoins provenant d'autres écoles de la région pour comparer les résultats.
6. Malheureusement, les chercheurs auraient dû valider si les intervenants sur le terrain avaient au moins 2300 de cote ELO avant de s'aventurer dans cette aventure. De pauvres petits joueurs de 1600 ne sont certainement pas qualifiés pour le travail. De plus, les joueurs de 2300 n'ont pas besoin d'études pour monter des dossiers "béton". On a juste à résumer les autres recherches et le tour est joué! Avec de la CONVICTION, nul ne sert d'attendre les résultats de la recherche: les portes sont toutes grandes ouvertes au MELS... tous les joueurs de 2300 savent ça... sans même avoir cogné à la porte!
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Et puis oui j'avoue: je me suis laissé emporter. Certainement des symptômes de l'écoeurantite aigüe. Je suis quelqu'un qui accepte la critique habituellement. Mais quand quelqu'un s'acharne sur mon cas à essayer de discréditer tout ce que je touche, alors que cette personne est sagement assise dans son salon en sa basant sur sa soit-disant merveilleuse expérience sans rien faire d'autre, eh bien oui, il peut être normal de perdre son calme. Plusieurs personnes m'ont envoyé des messages privés dans le passé (puisque ce n'est pas notre première escarmouche...) me demandant pourquoi je perdais mon temps à "essayer" de discuter avec toi... que ça ne sert à rien puisqu'au bout du compte, "Jean a toujours raison". Je m'en rend bien compte maintenant... nous aurions "dont dû ben dû" téléphoner à Jean avant de se lancer dans cette aventure... il nous l'aurait dit "lui" que ça serait certainement une perte de temps! Il aurait sû tout de suite!
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