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J'espère bien m'adresser à la bonne tribune, celle du peuple. Les quelques commentaires qui suivent n'ont pour but que d'aider à rendre plus professionnels les tournois que Association Échecs et Maths organise à Montréal.
Imaginez que vous vous adressez à une foule de deux à trois cents personnes sans aucun micro ou porte-voix pour ouvrir un tournoi d'échecs et communiquer. Vous n'avez que la puissance de votre voix. Si elle est le moindrement éteinte, autant dire que vous ne pouvez même pas demander le silence. C'est le tohu bohu. Probablement qu'un simple porte-voix ou l'achat d'un amplificateur avec micro suffirait pour résoudre le problème. Encore faut-il s'en servir et crier le moins possible. C'est aussi important côté sécurité !!
Il fût un temps où la table des inscriptions pour le tournoi par équipe était adjacente à l'entrée de la cafétéria, le lieu du tournoi. En éloignant considérablement cette table, la logistique entre la table de travail de l'arbitre en chef et celle des inscriptions est plus difficile, d'où l'allure de marcheurs rapides de certains organisateurs. Le retour en arrière ici serait bienvenue.
J'avais déjà proposé qu'on commence et termine les inscriptions au moins 15 minutes plus tôt pour avoir plus de temps pour faire les appariements et possiblement terminer le tournoi plus de bonne heure. Il ne sert à rien de travailler sous tension, l'avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt.
Les déplacements de sections de joueurs après la première ronde n'a rien de professionnel. Il est possible d'avoir le total des participants et mettre la salle au point avant la première ronde.
Vous organisez une équipe qui gagne un prix le premier ou le deux décembre. Les joueurs, l'entraîneur et l'école ne reçoivent leurs plaques que l'année suivante, au début de la session d'hiver d'échecs, fin janvier, début février. Qui est en charge du transport et de la livraison? Le professeur. Un envoi postal rapide après le tounoi aux élèves gagnants serait un minimum à faire. Ils sont impatients de recevoir leurs prix. C'est naturel.
Ouvrir un tournoi en anglais d'abord c'est un recul que je n'ai jamais vu auparavant. Il ne faudrait pas que ça devienne une habitude. Je ne pense pas qu'on puisse demander aux arbitres d'être bilingues, même si plusieurs le sont déjà et s'adressent aux joueurs en anglais quand c'est nécessaire. La majorité parle français dans les tounois. Ceux qui veulent être servi en anglais doivent aussi faire l'effort de le demander. Il y a sûrement quelqu'un qui peut leurs répondre.
J'ai toujours pensé que la salle de tournoi devait être réservée aux joueurs et arbitres durant un tournoi. La présence d'entraîneurs et de professeurs ne doit pas être tolérée. Les arbitres ne doivent pas entrer en conflit avec la fonction d'entraîneurs qu'ils cumulent également et se comporter comme tel.
Je laisse le sujet ouvert à d'autres commentaires.
Imaginez que vous vous adressez à une foule de deux à trois cents personnes sans aucun micro ou porte-voix pour ouvrir un tournoi d'échecs et communiquer. Vous n'avez que la puissance de votre voix. Si elle est le moindrement éteinte, autant dire que vous ne pouvez même pas demander le silence. C'est le tohu bohu. Probablement qu'un simple porte-voix ou l'achat d'un amplificateur avec micro suffirait pour résoudre le problème. Encore faut-il s'en servir et crier le moins possible. C'est aussi important côté sécurité !!
Il fût un temps où la table des inscriptions pour le tournoi par équipe était adjacente à l'entrée de la cafétéria, le lieu du tournoi. En éloignant considérablement cette table, la logistique entre la table de travail de l'arbitre en chef et celle des inscriptions est plus difficile, d'où l'allure de marcheurs rapides de certains organisateurs. Le retour en arrière ici serait bienvenue.
J'avais déjà proposé qu'on commence et termine les inscriptions au moins 15 minutes plus tôt pour avoir plus de temps pour faire les appariements et possiblement terminer le tournoi plus de bonne heure. Il ne sert à rien de travailler sous tension, l'avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt.
Les déplacements de sections de joueurs après la première ronde n'a rien de professionnel. Il est possible d'avoir le total des participants et mettre la salle au point avant la première ronde.
Vous organisez une équipe qui gagne un prix le premier ou le deux décembre. Les joueurs, l'entraîneur et l'école ne reçoivent leurs plaques que l'année suivante, au début de la session d'hiver d'échecs, fin janvier, début février. Qui est en charge du transport et de la livraison? Le professeur. Un envoi postal rapide après le tounoi aux élèves gagnants serait un minimum à faire. Ils sont impatients de recevoir leurs prix. C'est naturel.
Ouvrir un tournoi en anglais d'abord c'est un recul que je n'ai jamais vu auparavant. Il ne faudrait pas que ça devienne une habitude. Je ne pense pas qu'on puisse demander aux arbitres d'être bilingues, même si plusieurs le sont déjà et s'adressent aux joueurs en anglais quand c'est nécessaire. La majorité parle français dans les tounois. Ceux qui veulent être servi en anglais doivent aussi faire l'effort de le demander. Il y a sûrement quelqu'un qui peut leurs répondre.
J'ai toujours pensé que la salle de tournoi devait être réservée aux joueurs et arbitres durant un tournoi. La présence d'entraîneurs et de professeurs ne doit pas être tolérée. Les arbitres ne doivent pas entrer en conflit avec la fonction d'entraîneurs qu'ils cumulent également et se comporter comme tel.
Je laisse le sujet ouvert à d'autres commentaires.
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